id="module-prestablog-blog" class="module-prestablog-blog lang_fr">

Plaque EXPRESS commande passée avant 13 h 00, Départ le jour Même (jours ouvrés)

PLAQUE EN ALU

Histoire de la plaque d'immatriculation 2/2

Publié le : 04/01/2019 14:19:54
Catégories : Infos sur les plaques

Histoire de la plaque d'immatriculation 2/2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Histoire de la plaque d'immatriculation

L’évolution du trafic et du nombre d’automobilistes a apporté de nombreuses modifications dans les plaques d’immatriculation.

 

Une seule vraie réforme en soixante ans

Le principe de numérotation datant de 1928 assura parfaitement sa mission, notamment durant la Seconde Guerre Mondiale, mais le recensement des véhicules d’après-guerre était difficile. En 1950, un nouveau système d’immatriculation voit le jour, c’est le Fichier National des Immatriculations (FNI). Ce format reprend les caractéristiques départementales du précédent système, mais remplace les lettres par des chiffres et augmente le nombre de combinaisons possibles. La numérotation retenue est de type ‘142 AB 68’.

Dans les années 80, le système s’informatise peu à peu pour créer des ruptures de séquences plus ou moins longues entre le dernier numéro manuel attribué et le premier numéro informatisé. Par exemple, le Finistère passe du ‘2041 MA 29’ (le soir) au ‘23 MB 29’ (le matin).

L’informatisation s’étend jusqu’à l’échelle nationale avec la création d’un fichier pour l’ensemble du territoire français. Ce nouveau format permet de répandre les mêmes pratiques entre les départements, car certains procédaient avec des tranches parallèles par arrondissement et d’autres avec des tranches pour les voitures neuves et les voitures d’occasion. De plus, des codes informatiques ont été mis en place pour exclure certains blocs de lettres comme KK, PD, QQ, WC pour pourchasser la vulgarité.

 

Jusqu’en 2009, les formats des plaques d’immatriculation a eu de nombreux changements

  • Au début des années 50, les numéros étaient très souvent imprimés au pochoir de couleur grise directement sur la carrosserie dans un rectangle de peinture noir.
  • Jusqu’à la fin des années 70, l’embossage (l’impression en relief) s’est progressivement généralisé pour devenir obligatoire. De même pour les caractères (chiffres et lettres) qui devaient être exclusivement en argentés ou blancs. Les plaques minéralogiques doivent être fixées à l’aide de rivet sur le pare-chocs pour limiter les vols.
  • En 1993, la norme européenne instaure les plaques réflectorisées à fond blanc, à l’avant du véhicule et à fond jaune à l’arrière.
  • Le 1er juillet 2004, la bande bleue de l’Union européenne appelée aussi «eurobande» devient obligatoire en France.

 

Le nouveau système d’Immatriculation des véhicules en 2009

L’année 2009 a marqué l’histoire de locomotion individuelle en France. Tous les véhicules à moteur devront, d’ici 2020, se conformer au nouveau système d’immatriculation, le SIV. Ce nouveau système attribue automatiquement un nouveau numéro d’immatriculation que la voiture conserve à vie qu’elles soient neuves, ou d’occasion, immatriculées dans l’ancien système.

Les collectionneurs ne vont certainement pas être contents à l’idée d’abandonner leur ancienne plaque puisqu’elle était souvent le symbole que l’on possédait le véhicule depuis longtemps. Mais cette nouvelle réforme du système d’immatriculation présente néanmoins de nombreux avantages pour les professionnels et les particuliers. Nous vous présenterons dans un prochain article la nouvelle réglementation SIV.

Partager ce contenu

Ajouter un commentaire

 (avec http://)

PayPal